Lors de leur voyage à travers les États-Unis, Franz Mack et son fils Roland ont eu l’idée de construire leur propre parc de loisirs, afin que tous les groupes d’âge puissent s’amuser. 3 ans plus tard, en 1975 l’Europa-Park a ouvert ses portes.
Le chemin a été long jusqu’à la construction de l’Europa-Park. Tout a commencé par la recherche d’un endroit convenable. On cherchait même au-delà de la frontière allemande, ce qui était plutôt inhabituel pour l’époque. À Breisach, juste à la frontière franco-allemande, la famille Mack a trouvé l’endroit idéal pour son parc, juste à côté du lac d’Europe. Les préparatifs battaient déjà leur plein, la plupart des autorisations étaient réglées, mais le projet a échoué au dernier moment.
L’administration des eaux et des bateaux avait d’autres plans pour le terrain. Cependant, la famille ne s’est pas laissé abattre par ce revers. Ils ont retenu un élément décisif de Breisach: la ville, qui en 1950 fut la première ville européenne à organiser un vote à l’essai de l’Union européenne en Allemagne est l’inspiration pour le nom « Europa-Park ».
Mais maintenant !
Après que cette misère se soit reproduite sur un terrain dans les environs de Neuenburg, une zone avec un ancien parc de château a finalement été trouvée à Rust, qui appartenait à la municipalité. Dès le début, le petit village de pêcheurs a soutenu et aidé à planifier le projet. Après avoir acheté le parc de loisirs adjacent, on avait une superficie totale de 16 hectares disponibles, ainsi que toutes les autorisations. La construction a enfin pu commencer.
Avec l’aide de ses enfants, Franz Mack a créé une combinaison idéale de parc, de divertissement, de culture et de jeux. Pour l’ouverture le 12 juillet 1975, on proposait aux visiteurs entre autres, un chemin de fer panoramique à 5 voitures, l’Eurodrom, une croisière fluviale finlandaise, un train de conte de fées, des animaux, ainsi que des stands de restauration et de boissons.
Au total, jusqu’à ce point, 75 000 tonnes de terre avaient été déplacées, 5 000 tonnes de béton et 6 000 tonnes de goudron avaient été achetés, 10 000 mètres de câbles avaient été installés et même une station d’épuration avait été ouverte pour les 30 toilettes. Enfin, 3.7 kilomètres de routes goudronnées ont été créées, dont deux tiers ont été asphaltées.
De toute façon ça ne marchera pas, ou peut-être si?
À l’ouverture, personne de la famille Mack ne s’attendait à autant de succès. Les médias ont observé l’ensemble du projet avec scepticisme dès le début, avec des titres tels que « le vautour fauché plane au-dessus de Rust » ou « Que se passe-t-il avec les ruines récréatives du village de pêcheurs de Baden ». Pourtant, 250 000 visiteurs ont été comptés les premiers mois. Un peu moins d’un an plus tard, 700 000 personnes se sont rendues à Rust et en 1978, le parc avait déjà atteint son premier million.
Surtout avec l’expansion des domaines thématiques européens (Italie, Pays-Bas, Angleterre, France, Scandinavie, Espagne et Allemagne), le public pouvait être captivé. Avec l’accord de Schengen (1985) non seulement les frontières géographiques disparaissent, mais l’Union se réorganise aussitôt dans le parc.
Mëttlerweil suergen iwwer 3.600 Mataarbechter – dorënner 102 Stagiairen – fir den super Oflaf wärend der Saison. Nach ëmmer freeën sech all Joer dausende Visiteuren, een oder och e puer Deeg am Europa-Park ze verbréngen!
