La plus belle piste où rouler ?
Le circuit de Magny-Cours.
Ton sport préféré en dehors de la course ?
Le volley-ball.
Honnêtement… T’as pas envie de rentrer dans tout le monde quand tu es coincé dans des bouchons ?
J’ai pas la meilleure voiture pour le faire, malheureusement (rires) !
Cela t’arrives de te dire en pleine course : « Mais en fait, je suis complètement fou, moi » ?
Non, pendant la course, je suis complètement focus. C’est plus après les courses que je me dis : « Oui, il y a quand même eu des situations assez folles ! » (rires)
Ton réseau social préféré ?
Instagram.
Ils t’ont fait quoi tes parents pour que tu les punisses en jouant avec leur coeur tous les week-end ?
Ils m’ont donné un peu de talent, ça a été leur grande erreur (rires) !
Ton plus beau souvenir en compétition ?
Le record en Arkansas en 2019.
La voiture électrique et autonome, ça ne risque pas de te mettre au chômage ?
Non. Si les Américains commencent à rouler en 100% électrique, on créera tout de suite des nouvelles pistes sur Mars ou sur la Lune(rires).
Tourner en rond pendant des heures : c’est quoi la différence entre toi et un poisson rouge ?
Le poisson rouge, il tourne parfois à droite (rires) !
Tu l’as eu facilement ton permis ?
Oui, très facilement.
Est-ce que tu as des petits trucs superstitieux ?
Oui. La méditation, toujours avant chaque course. Trouver le calme intérieur, souffler.
Ton pilote préféré, toutes disciplines de sport automobile confondues ?
Très bonne question. J’aime beaucoup Jeff Gordon. Michael Schumacher aussi n’a quasiment jamais fait d’erreurs dans sa carrière.
Si tu étais une voiture ?
Une Lamborghini Huracan. Petite voiture de rêve.
Tu te vois où dans 10 ans ?
Dans la première division en Nascar. Être le premier Européen qui a du succès dans cette division.
À quand une course avec ton père ?
On a déjà fait ça ! En karting, ou avec la Mustang. Je crois que, comme tous les enfants qui ont eu un père dans le sport automobile, le premier qu’on veut battre, c’est papa.