Tout fan de sport a ce réflexe. Prendre son téléphone, ouvrir ses applications préférées, et, inexorablement, tomber sur des articles traitant de football. Une habitude assumée, et chérie. Mais cette manière d’agir n’est pas aussi simple, lorsqu’on en vient au football luxembourgeois. Ainsi, le travail effectué pour trouver résumés, analyses, interviews, est plus complexe. Un paradoxe quand aujourd’hui, suivre l’actualité internationale du ballon rond est plus facile que jamais.
Faut-il donc s’inquiéter de la rareté du contenu national ? Selon nous, oui. Mais nous avons voulu savoir ce que les clubs, les acteurs, les personnes influentes en pensaient. Et force est de constater que le sujet est vaste, complexe, et infiniment nuancé. Nous avons vu les limites du système luxembourgeois, les inquiétudes, au même titre que les espoirs. Et nous avons pu réaliser, encore une fois, à quel point le travail de médiatisation au sein du Grand-Duché demeure ardu.
Car ce championnat est beau. Avec un rebattement des cartes totales, le F91, le Progrès, et le Fola trônent sur les trois premières places. Un classement jalousé par de nombreux clubs qui ont eux aussi décidé de se mêler à la course au titre. Ainsi, nous nous retrouvons aujourd’hui avec pas moins de sept clubs toujours candidats au graal suprême. Parmi eux, le Swift, dont le latéral Cédric Sacras, vainqueur de la Ligue l’an passé avec le Fola, fait le bilan.
Évidemment, un Dribble se doit toujours de couvrir l’actualité internationale, de décortiquer les résultats récents de la BGL, et de vous immerger dans les coulisses de ce championnat si atypique. Profitez-en donc, tant la couverture du ballon rond ici, devient de plus en plus inquiétante.
Au sommaire de ce 34e numéro :
- Un regain de visibilité ?
- Absence de satisfaction, absence d’action
- Une reprise tambour battant
- Cédric Sacras : « Je suis à fond dans le projet »
- PH : les anonymes indispensables
