Max Mannes sans filet

Dernières longueurs pour le nageur avant les championnats du monde à Budapest cette année, une édition exceptionnelle, ajoutée depuis février au calendrier

Le Luxembourgeois, cadre élite du COSL, se prépare à une saison dense, rythmée par des entraînements minutieux et des stages rigoureux. Une aubaine pour le nageur, qui aura à coeur de briller lors de deux échéances majeures : Les championnats du monde en Hongrie, et d'Europe, en Italie.

Rencontre synchronisée avec l'un des piliers des bassins au Grand-Duché. 

Max Mennes a très tôt été mis dans le grand bain, grâce à un contact avec la natation établi par sa famille "J'ai commencé en 2002, avec mes parents, avec des cours pour bébés. Mon père nageait aussi." se souvient le (très) grand garçon de 2m01. 

En 2021, il rejoint la Suisse, pour se rapprocher de l'un des meilleurs, Paul Kutscher, qui officie dans le réputé club de Uster. "Ma fédération connaissait mon entraîneur, et ils m'ont aidé à prendre contact avec le club. C'est le meilleur choix que je pouvais faire d'un point de vue sportif, mais aussi parce que ma copine est allemande. Alors, je ne peux pas me plaindre." 

De retour dans l'élité depuis début 2020, le Luxembourgeois a fait de la nage libre et du dos ses deux spécialités, qu'il peaufine lors de séances d'entraînement aux côtés de sept autres athlètes. Il concède d'ailleurs vontontiers qu'elles montent en puissance. "Aujourd'hui, par exemple, c'est court mais avec plus d'intensité." Touché par le covid il y a un mois, son rythme a été quelque peu impacté et ces dernières semaines ont "été très dures". 

 

 

 

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