Samedi matin, le mouvement terroriste Hamas a lancé une offensive sans précédent contre l’état hébreu. Baptisée « Déluge d’Al-Aqsa » cette attaque a fait 700 morts et 2150 blessés côté israélien, et 413 victimes et 2300 blessés du côté palestinien.
Des combats sont toujours en cours ce lundi matin, 48h après l’attaque déclenchée par le Hamas depuis la bande de Gaza. Le groupe terroriste a mené une offensive d’envergure contre l’état hébreu. De nombreuses victimes sont à déplorer tandis que des civils comme des membres de forces de sécurité ont été également pris en otage par les assaillants, dont on estime le nombre autour des 1000, selon Jonathan Conricus un porte-parole de l’armée israélienne.
Face à cette attaque d’une violence inédite, les forces de défense d’Israël (FDI) continuaient de bombarder la bande de Gaza dans la nuit de dimanche à lundi avec pour objectif de « réduire considérablement les capacités » du Hamas, a justifié l’armée. Au sol également, Tsahal continue de se battre lundi matin avec des combattants palestiniens infiltrés sur le territoire d’Israël en « sept ou huit » points autour de la bande de Gaza.
L’Iran nie toute implication
Les accusations liées au rôle de l’Iran » dans l’offensive du Hamas contre Israël « sont fondées sur des motifs politiques », a déclaré lundi le porte-parole de la diplomatie iranienne, Nasser Kanani, affirmant que Téhéran n’intervenait pas « dans les prises de décisions d’autres nations, y compris la Palestine ». « La résistance de la nation palestinienne a la capacité, la force et la volonté nécessaires pour se défendre, défendre sa nation et tenter de récupérer ses droits perdus », a affirmé M. Kanani au cours d’une conférence de presse à Téhéran.
Parmi les nombreuses victimes côté israélien, les participants à un festival de musique organisé dans le sud d’Israël, ou 250 personnes auraient été tuées par le Hamas, et une centaine prises en otage selon l’organisation de secours Zaka.
